Le restaurant Qiào Jiāng Nán (43, rue de Provence) se trouve près des Galeries Lafayette. Les touristes chinois fortunés viennent y déjeuner après leurs emplettes harassantes. C'est qu'il faut faire la queue pour pouvoir acheter des sacs Louis Vuitton !
Le restaurant propose de vraies spécialités sichuanaises, bien épicées, comme le poulet aux piments (ci-dessus) ou le mápó dòufu (tofu en sauce piquante, ci-dessous). C'est très bon mais forcément, vu la clientèle, un peu plus cher que les restaurants des quartiers chinois.
13 October 2011
10 October 2011
Au Jardin des Corolles
Au Jardin des Corolles (15, place des Corolles à Courbevoie) est un petit restaurant chinois avec une agréable terrasse verte et ombragée. De ce point de vue-là, il tranche agréablement avec la moyenne des restaurants de la Défense, qui sont d'une grisaille uniforme particulièrement déprimante, surtout en été.
En revanche, du point de vue de ce qu'on a dans l'assiette, ce n'est pas mieux que la moyenne des restaurants de la Défense. C'est peut-être même en-deçà : le restaurant a succombé à la redoutable mode du « buffet à volonté » et propose ainsi des vapeurs tièdes, des beignets de crevette froids, et des nouilles sautées trop salées... J'ai essayé une fois de commander à la carte pour éviter les mets du buffet — et j'ai déjeuné ¾ d'heure après mes collègues !
À éviter, malgré le cadre et l'accueil sympathiques.
En revanche, du point de vue de ce qu'on a dans l'assiette, ce n'est pas mieux que la moyenne des restaurants de la Défense. C'est peut-être même en-deçà : le restaurant a succombé à la redoutable mode du « buffet à volonté » et propose ainsi des vapeurs tièdes, des beignets de crevette froids, et des nouilles sautées trop salées... J'ai essayé une fois de commander à la carte pour éviter les mets du buffet — et j'ai déjeuné ¾ d'heure après mes collègues !
À éviter, malgré le cadre et l'accueil sympathiques.
03 October 2011
Yi Ping
En général, je pense le plus grand mal des restaurants japonais tenus par des Chinois. Les mêmes sempiternels menus de brochettes et de sushi très très moyens, le même sempiternel décor (chats avec le bras qui se balance près de la caisse, petites bannières, poupées japonaises...), tout ça acheté chez les mêmes grossistes... À éviter !
Yi Ping (42, rue Sainte-Anne) m'a partiellement reconcilié avec le concept de restaurant japonais tenu par des Chinois. En même temps point ici de brochettes ni de sushi : ce restaurant est spécialisé dans les rāmen, ces grosses soupes généreuses que les Japonais avalent goulûment lors de leurs pauses-repas, soupes qui sont elles-mêmes d'origine chinoise. Donc finalement c'est presque un retour aux sources !
Pour 8€50, une portion très généreuse de rāmen, dans une ambiance « cantine » parfaite pour un déjeuner rapide en semaine.
Yi Ping (42, rue Sainte-Anne) m'a partiellement reconcilié avec le concept de restaurant japonais tenu par des Chinois. En même temps point ici de brochettes ni de sushi : ce restaurant est spécialisé dans les rāmen, ces grosses soupes généreuses que les Japonais avalent goulûment lors de leurs pauses-repas, soupes qui sont elles-mêmes d'origine chinoise. Donc finalement c'est presque un retour aux sources !
Pour 8€50, une portion très généreuse de rāmen, dans une ambiance « cantine » parfaite pour un déjeuner rapide en semaine.
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