Dokkebi (33, rue des Petits Champs) est un autre restaurant coréen du quartier Opéra/Sainte-Anne. Avec cette chaleur, j'ai une fois de plus ignoré les divers menus (entre 11 et 17 €) pour prendre un naengmyeon. Aujourd'hui encore, j'ai pris la version sans bouillon.
Bien que je n'aie pris qu'un plat, au final mon déjeuner était tout-à-fait complet puisqu'on m'a apporté une grande tasse de thé vert coréen et un petit bol de juk (속) pour me faire patienter. Le naengmyeon est arrivé accompagné de six banchan et tout était absolument délicieux.
À la fin du repas, et en attendant l'addition, on m'a offert un petit verre rempli de petits cubes de pastèque à déguster avec un cure-dents. Au final j'ai payé 17 € mais je considère que c'était un repas complet. Très très satisfaisant !
30 August 2012
29 August 2012
Sa Lang
Sa Lang (사랑, 17-19, rue d'Antin) est un restaurant coréen du quartier Opéra. Les prix y sont donc plus élevés que dans les restaurants coréens du XIVe ou du XVe, et du même ordre que dans les autres restaurants coréens du quartier.
Les deux salles, séparées par une paroi en bois, sont assez petites mais les tables restent quand même assez éloignées les unes des autres. On peut donc y manger sans subir les discussions des voisins. La décoration est assez simple, avec de beaux dessins apparemment tous du même auteur. Je ne sais pas s'il s'agissait d'une exposition temporaire ou de la décoration habituelle du restaurant. Les serveurs sont jeunes et sympathiques. Quand j'y suis allé déjeuner, ils portaient tous un T-shirt « I love Dokdo ». Heureusement que 99,99% des Français ne savent pas ce que ça signifie. Personnellement j'ai trouvé un peu bizarre que des serveurs portent un slogan nationaliste sur leur uniforme de travail.
Bon... Foin de digressions. La carte se partage de façon très habituelle entre menus et plats à la carte. Les menus sont relativement raisonnables, surtout pour le quartier, et les prix à la carte ne sont pas trop élevés. Vu la chaleur, j'ai encore commandé des naengmyeon et cette fois-ci j'ai eu la version sans bouillon qui était absolument délicieuse. Les banchan étaient également très bon, sauf peut-être le kimchi, assez banal. Au final, une bonne adresse dans le quartier Opéra.
Les deux salles, séparées par une paroi en bois, sont assez petites mais les tables restent quand même assez éloignées les unes des autres. On peut donc y manger sans subir les discussions des voisins. La décoration est assez simple, avec de beaux dessins apparemment tous du même auteur. Je ne sais pas s'il s'agissait d'une exposition temporaire ou de la décoration habituelle du restaurant. Les serveurs sont jeunes et sympathiques. Quand j'y suis allé déjeuner, ils portaient tous un T-shirt « I love Dokdo ». Heureusement que 99,99% des Français ne savent pas ce que ça signifie. Personnellement j'ai trouvé un peu bizarre que des serveurs portent un slogan nationaliste sur leur uniforme de travail.
Bon... Foin de digressions. La carte se partage de façon très habituelle entre menus et plats à la carte. Les menus sont relativement raisonnables, surtout pour le quartier, et les prix à la carte ne sont pas trop élevés. Vu la chaleur, j'ai encore commandé des naengmyeon et cette fois-ci j'ai eu la version sans bouillon qui était absolument délicieuse. Les banchan étaient également très bon, sauf peut-être le kimchi, assez banal. Au final, une bonne adresse dans le quartier Opéra.
24 August 2012
Lhassa
Malgré ma sympathie pour les Tibétains et mon intérêt pour les bouddhisme, j'ai grand mal à dire du bien de la cuisine tibétaine... Quand on connaît et qu'on apprécie les cuisines indienne et sichuanaise, la cuisine tibétaine ne soutient pas la comparaison.
De mon point de vue (je goûte assez la cuisine épicée), le défaut majeur de la cuisine tibétaine est le manque d'épices.
J'ai pourtant fait une nouvelle tentative aujourd'hui en allant déjeuner au restaurant Lhassa (13, rue de la Montagne-Sainte-Geneviève).
Le restaurant est très richement décoré (cf. photo), sans doute parce que les propriétaires possèdent également une boutique d'art et artisanat du Tibet. Entre les peintures murales, les tapisseries, les poupées, la vaisselle, et les photos du Tibet, on a vraiment de quoi occuper ses yeux pendant l'attente des plats.
La musique d'ambiance est également fort agréable et surtout jouée à un volume raisonnable.
J'ai pris un curry de tofu et, surprise, il m'a été servi avec une coupelle à part contenant du « piment tibétain ». Ce dernier était brun clair (bizarre, pour du piment). J'ai dû vider la coupelle tout entière dans le curry pour qu'il soit un tout petit peu piquant. En fait je pense qu'il s'agissait d'un mélange de gingembre et d'ail pilés.
En dessert j'ai pris une boule de riz aux raisins secs chaude baignant dans le yaourt maison. Ça n'était pas particulièrement transcendant mais en même temps je ne vais pas dans les restaurants asiatiques pour leurs desserts.
Au final je pense devoir terminer sur la même conclusion que pour Tashi Tagyé : je conseillerai ce restaurant aux personnes qui ne supportent pas la nourriture épicée ; pour tous les autres, je pense que les cuisines indienne ou chinoise sont plus satisfaisantes.
De mon point de vue (je goûte assez la cuisine épicée), le défaut majeur de la cuisine tibétaine est le manque d'épices.
J'ai pourtant fait une nouvelle tentative aujourd'hui en allant déjeuner au restaurant Lhassa (13, rue de la Montagne-Sainte-Geneviève).
Le restaurant est très richement décoré (cf. photo), sans doute parce que les propriétaires possèdent également une boutique d'art et artisanat du Tibet. Entre les peintures murales, les tapisseries, les poupées, la vaisselle, et les photos du Tibet, on a vraiment de quoi occuper ses yeux pendant l'attente des plats.
La musique d'ambiance est également fort agréable et surtout jouée à un volume raisonnable.
J'ai pris un curry de tofu et, surprise, il m'a été servi avec une coupelle à part contenant du « piment tibétain ». Ce dernier était brun clair (bizarre, pour du piment). J'ai dû vider la coupelle tout entière dans le curry pour qu'il soit un tout petit peu piquant. En fait je pense qu'il s'agissait d'un mélange de gingembre et d'ail pilés.
En dessert j'ai pris une boule de riz aux raisins secs chaude baignant dans le yaourt maison. Ça n'était pas particulièrement transcendant mais en même temps je ne vais pas dans les restaurants asiatiques pour leurs desserts.
Au final je pense devoir terminer sur la même conclusion que pour Tashi Tagyé : je conseillerai ce restaurant aux personnes qui ne supportent pas la nourriture épicée ; pour tous les autres, je pense que les cuisines indienne ou chinoise sont plus satisfaisantes.
22 August 2012
Darai
Darai (4bis, rue Violet) est un restaurant coréen du XVe arrondissement — il a donc beaucoup de concurrence dans son créneau. Pour se démarquer, il a choisi de jouer à fond la carte de la « cantine » : les menus sont copieux et très bon marché, avec des menus qui commencent à 9 € (uniquement le midi du lundi au vendredi), avec entrée, plat, et dessert !
Le choix est vaste, même dans les menus, et les portions sont assez copieuses. Chaque plat est servi avec 4 banchan. C'est ce qu'ont pris mes collègues. Moi j'ai pris un naengmyeon qui était plutôt moins bon que dans les restaurants coréens du quartier Opéra de la capitale (cf. Guibine ou Séoul-Opéra), mais aussi bien moins cher : 11 €.
Si la quantité prime sur la qualité, si le côté cantine ne vous dérange pas, foncez chez Darai. D'ailleurs c'est toujours plein...
Le choix est vaste, même dans les menus, et les portions sont assez copieuses. Chaque plat est servi avec 4 banchan. C'est ce qu'ont pris mes collègues. Moi j'ai pris un naengmyeon qui était plutôt moins bon que dans les restaurants coréens du quartier Opéra de la capitale (cf. Guibine ou Séoul-Opéra), mais aussi bien moins cher : 11 €.
Si la quantité prime sur la qualité, si le côté cantine ne vous dérange pas, foncez chez Darai. D'ailleurs c'est toujours plein...
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