Kim Seoul (17, rue du Faubourg Montmartre) est un restaurant spacieux, lumineux, et joliment décoré de la rue du Faubourg Montmartre. Cela faisait plusieurs mois que je l'avais repéré et que j'avais grande envie de l'essayer.
Eh bien la déception aura été à hauteur de l'attente ! Bien qu'il se présente comme un « restaurant coréen-japonais », Kim Seoul est en fait juste un simple restaurant japonais tenu par des Chinois comme il y en a tant à Paris. Il y a juste quelques plats coréens proposés en sus des habituels sushi, sashimi, brochettes à la toute dernière page de leur carte.
J'ai donc pris un bibimpap. Mon Dieu.... j'ai reçu un gros bol rempli de riz blanc tiède, bien entendu sans banchan ; et pour cause : ils étaient en quelque sorte dans le plat : le riz blanc était couvert de salade d'algues, de navets en saumure, de kimchi, et d'un œuf au plat. Je précise qu'il aurait aussi dû y avoir du porc et que c'est moi qui ai demandé sans viande mais bon.... ce n'était pas un bibimpap, point.
À éviter.
22 March 2012
20 March 2012
Myung Ka
Myung-Ka (明家, « la maison claire » — 19 boulevard Garibaldi) est un tout petit restaurant coréen qui m'a fait penser à Samo par le type de menus du midi proposés, et par les jeunes filles et les dames se pressant dans tous les sens.
Les menus du midi (salade + entrée + plat + boisson) s'échelonnent de 12 à 15 € et sont vraiment quasiment identiques à ceux de Samo. Et comme je déjeune chez Samo à peu près une fois par semaine, j'ai voulu varier un peu et du coup j'ai commandé à la carte, un plat et du thé vert, ce qui m'est revenu un peu plus cher (18 €) qu'un menu du midi.
J'ai pris une grande soupe aux fruits de mer et aux pâtes fines, qui est arrivée accompagnée de quatre banchan absolument délicieux. La soupe m'a un peu déçu : comme elle contenait des anchois séchés, j'attendais quelque chose de vraiment beaucoup plus salé !
En regardant vers les tables de mes voisins, je me suis rendu compte que tout le monde avait reçu des banchan différents ! C'est quand même assez rare dans les restaurants coréens.
La clientèle était composée pour moitié de Coréens, ce qui est bon signe ; je reste un peu déçu par mon plat... Il faudra que je revienne et que je teste un menu du midi. Et de nouveaux banchan !
Les menus du midi (salade + entrée + plat + boisson) s'échelonnent de 12 à 15 € et sont vraiment quasiment identiques à ceux de Samo. Et comme je déjeune chez Samo à peu près une fois par semaine, j'ai voulu varier un peu et du coup j'ai commandé à la carte, un plat et du thé vert, ce qui m'est revenu un peu plus cher (18 €) qu'un menu du midi.
J'ai pris une grande soupe aux fruits de mer et aux pâtes fines, qui est arrivée accompagnée de quatre banchan absolument délicieux. La soupe m'a un peu déçu : comme elle contenait des anchois séchés, j'attendais quelque chose de vraiment beaucoup plus salé !
En regardant vers les tables de mes voisins, je me suis rendu compte que tout le monde avait reçu des banchan différents ! C'est quand même assez rare dans les restaurants coréens.
La clientèle était composée pour moitié de Coréens, ce qui est bon signe ; je reste un peu déçu par mon plat... Il faudra que je revienne et que je teste un menu du midi. Et de nouveaux banchan !
12 March 2012
Panasia
À Boulogne, c'est un peu la misère pour ce qui est des restaurants asiatiques. Il y a un seul bon restaurant coréen. Il y a un bon restaurant japonais, mais il est très cher. Je ne connais aucun restaurant thaï, aucun restaurant vietnamien. Et, jusqu'à il y a peu de temps, je trouvais qu'il n'y avait aucun bon restaurant chinois ; en effet, le grand restaurant chinois à l'angle de l'avenue Victor Hugo et de la place Marcel Sembat se présente comme « restaurant panasiatique » — et les quatre lecteurs de ce blog savent que je fuis ce genre de concept comme la peste.
Un soir, poussés par la faim, nous avons quand même essayé Panasia (130, avenue Victor Hugo à Boulogne-Billancourt). La présence de nombreux clients chinois a été un premier bon signe. La carte, ensuite, même si elle mélange les cuisines de toutes les provinces chinoises, comporte de nombreuses valeurs sûres, ainsi que de nombreuses variantes de plats classiques. Mon épouse a ainsi pris des nouilles sautées, mais qui étaient bien plus larges que ce que l'on trouve habituellement dans les autres restaurants chinois et, petite touche « panasiatique », servies avec des banchan. J'ai pris une excellente marmite d'aubergines avec du riz blanc.
La carte comporte également des plats coréens, vietnamiens et japonais. Je ne sais pas ce qu'ils valent car nous avons restreint notre choix aux spécialités chinoises. En revanche — et contrairement à notre habitude — nous avons essayé les desserts, qui se présentent dans une veine fusion euro-japonaise. Eh bien les desserts étaient fort fameux et plutôt légers.
En conclusion : enfin une bonne adresse chinoise à Boulogne, qui plus est avec quelques excentricités contrôlées qui ne gâchent pas le plaisir de ceux qui, comme moi, cherchent avant tout à manger « à l'asiatique » dans un restaurant asiatique.
Edit 14 août 2015 – Le Panasia de Boulogne Billancourt a fermé ses portes ! Vous pouvez le retrouver au centre commercial Beaugrenelle, dans le XVe arrondissement, mais avec des prix bien plus élevés !
Edit.
1. Comment ai-je pu oublier le restaurant vietnamien La Can Tinh (5, rue de Vanves à Boulogne-Billancourt)... mais alors qu'est-ce qu'il y a comme monde ! Ils ont aussi une annexe « take-away » au 83, boulevard de la République.
2. Quelques photos prises chez Panasia :
Un soir, poussés par la faim, nous avons quand même essayé Panasia (130, avenue Victor Hugo à Boulogne-Billancourt). La présence de nombreux clients chinois a été un premier bon signe. La carte, ensuite, même si elle mélange les cuisines de toutes les provinces chinoises, comporte de nombreuses valeurs sûres, ainsi que de nombreuses variantes de plats classiques. Mon épouse a ainsi pris des nouilles sautées, mais qui étaient bien plus larges que ce que l'on trouve habituellement dans les autres restaurants chinois et, petite touche « panasiatique », servies avec des banchan. J'ai pris une excellente marmite d'aubergines avec du riz blanc.
La carte comporte également des plats coréens, vietnamiens et japonais. Je ne sais pas ce qu'ils valent car nous avons restreint notre choix aux spécialités chinoises. En revanche — et contrairement à notre habitude — nous avons essayé les desserts, qui se présentent dans une veine fusion euro-japonaise. Eh bien les desserts étaient fort fameux et plutôt légers.
En conclusion : enfin une bonne adresse chinoise à Boulogne, qui plus est avec quelques excentricités contrôlées qui ne gâchent pas le plaisir de ceux qui, comme moi, cherchent avant tout à manger « à l'asiatique » dans un restaurant asiatique.
Edit 14 août 2015 – Le Panasia de Boulogne Billancourt a fermé ses portes ! Vous pouvez le retrouver au centre commercial Beaugrenelle, dans le XVe arrondissement, mais avec des prix bien plus élevés !
Edit.
1. Comment ai-je pu oublier le restaurant vietnamien La Can Tinh (5, rue de Vanves à Boulogne-Billancourt)... mais alors qu'est-ce qu'il y a comme monde ! Ils ont aussi une annexe « take-away » au 83, boulevard de la République.
2. Quelques photos prises chez Panasia :
Labels:
75015,
92100,
eating out,
restaurant asiatique,
restaurant chinois
02 March 2012
Tien Hiang
Tien Hiang (14, rue Bichat) est un restaurant asiatique végétarien, ce qui est très rare à Paris. J'avais déjà chroniqué Green Garden sur ce blog et dit à quel point j'avais été déçu. Ce qui est intéressant chez Tien Hiang est que la « fausse viande » et le « faux poisson » (tous deux à base de protéines de soja) constituent la base de nombreux plats et permettent bien évidemment une gamme de plats plus large que les simples plats à base de légumes ou de tofu.
J'ai pris une soupe laksa au « faux poisson » à 7 € et elle était tellement copieuse que je n'ai même pas pu prendre d'autres plats. Il faudra que je revienne...
Le site web du restaurant est très didactique et explique en quoi consistent leurs ingrédients, notamment la protéine de soja texturée.
À noter également un certain nombre de desserts sortant des sempiternels litchis ou nougats chinois proposés par les restaurants asiatiques de Paris.
J'ai pris une soupe laksa au « faux poisson » à 7 € et elle était tellement copieuse que je n'ai même pas pu prendre d'autres plats. Il faudra que je revienne...
Le site web du restaurant est très didactique et explique en quoi consistent leurs ingrédients, notamment la protéine de soja texturée.
À noter également un certain nombre de desserts sortant des sempiternels litchis ou nougats chinois proposés par les restaurants asiatiques de Paris.
Subscribe to:
Posts (Atom)